Garçon rencontré à Bandar-e-Abbas. Peut-être semblable à tant d'autres garcons, mais tout de même, regardez ses yeux…

Deux petites filles qui rient sous le soleil couchant de Bandar-e-Abbas.

Petit bonhomme de neuf ans rencontré dans un hôtel de routier au bord de la route, il préparait le pain qui accompagne tout repas pakistanais.

Dans la région du Punjab, à cheval sur le Pakistan et l'Inde, voici deux paysans. Remarquez leur coiffure, ici rares sont les hommes découverts !

Quel regard étrange… C'est parce que cet homme est maquillé. Eh oui, au Pakistan le maquillage concerne les hommes également et renforce encore la profondeur de leurs yeux sombres. Et avec un turban jaune, n'en parlons pas !

À Amritsar, nous avons rencontré beaucoup de fidèles du sikhisme, religion assez développée en Inde. Les fidèles se reconnaissent à leurs poignards, leur turban et leur barbe, que certains ne coupent jamais. Celle-ci est particulièrement impressionante !

Encore un sikh, un ancien soldat paré de ses plus beaux atours pour sa visite au Golden Temple, temple doré, haut lieu de pélérinage pour les sikhs (on l'aperçoit au second plan).

Dans la ville sacrée de Varanasi, en Inde, on croise d'étranges personnages, qui ont tout abandonné pour vivre complètement leur foi hindoue, comptant sur la générosite des autres. Certains sont plutôt des mendiants, d'autres semblent plus authentiques, comme celui-ci. Remarquez, posé sur le mur, le trident symbole de Shiva, un des principaux dieux hindoux.

Un berger solitaire, croisé en haut d'une montagne.

Un moment de complicité ? Une petite fille timide et sa maman, qui habitent dans une maison accessible uniquement a pied, dans la montagne. Presque toutes les femmes indiennes ont un bijou sur une aile du nez, ici c'est particulièrement visible.

Selon les écoles, les élèves ont un costume plus ou moins strict, mais ils sont toujours bien habillés, comme pour aller au travail. Ce petit garçon travaille en école de plein air, qui n'en rêverait pas ?

Croisée à McLeod Ganj, une vieille dame jeune dans sa tête, pleine de couleur sur elle et sur son parapluie. On peut aussi se dire qu'elle sourit, comme beaucoup des gens qui viennent dans l'univers bouddhiste tibétain de cette ville du Dalaï-Lama.

Que cela soit du rouge, du rose, du jaune, ou encore de l'argent, la couleur noire de leur peau n'est plus beaucoup apparente pendant Holi

Notre ami Robert est salement coloré pour ce premier jour de Holi. Quel plaisir de retrouver son accordéon que nous avions laissé à Quetta, Pakistan.

Ami français rencontré à Varanasi, « Je ne suis pas un animal… »

Babou, c'est notre livreur de lait. Il pratique quotidiennement son yoga musclé et reste souriant à tous moments de la journée.

Si les boucles d'oreilles sont portées également en France par les filles, ici en Inde beaucoup d'entre elles ont égalemen des boucles de nez et les garçons portent parfois aussi des boucles d'oreilles. Les Indiennes aiment beaucoup les bijoux, qu'elles portent même à la cheville et aux orteils.

Voici un brahmane, membre du clergé hindou. Tel que nous le voyons, il est face au Gange et offre à ce dernier la Puja, l'offrande. On ne devient pas brahmane, on naît brahmane parce que les parents le sont.

Reconnaissez-vous un sikh d'après les précédentes photos prises à Amritsar ? Il a bien un turban ! Ce joli monsieur fut rencontré au milieu d'une balade, il faisait sa vaisselle alors qu'il n'y avait aucun magasin ni maison à proximité.

Une petite fille qu'aimait beaucoup Charles: Chotti. Timide mais espiègle, toujours bien habillée malgré sa condition : elle habite dans une petite cabane de briques, ses parents doivent être assez pauvre. Mais quel sourire !

Pinki et Sunita, deux autres petites filles de l'école de Ravindrapuri. En classe, il y a de tous les âges et de tous les niveaux, de 5 à 14 ans.

Beaucoup d'enfants mendient ou vendent des cartes postales sur le bord du Gange. D'autres y flânent, comme ces quatre-là !

À Varanasi, on rencontre beaucoup de tailleurs aux boutiques plus ou moins importantes. Ce vieux tailleur s'applique, son mètre au cou, à couper une pièce de tissu pour fabriquer un vêtement.

Même si les enfants indiens vivent différemment de vous, il y a des choses que vous avez en commun. L'amour des glaces par exemple…

Un peu à l'image des gens rencontrés sur le trajet du trek : une dose de modernité, comme un blouson orange pétant, sur un fond de tradition : tongs et chapeau… naturel. Et pratique !

Un de nos derniers sadhus, lui ne ressemble pas à un charlatan, il semble apaisé et meditatif, menant sa vie d'ascète dans la vie de tous les jours, le front encore coloré.

Voici un Lama, ou son assistant : dans un temple bouddhiste, vêtu de bordeau, la couleur des moines tibétains également (peut-être celle du clergé bouddhiste). La décoration de son temple de style bouddhiste tibétain est chatoyante, les visages rayonnants… Qui a fait cela, la religion ou la culture tibétaine ? Les deux mon général.

Rencontré au Népal, à Muktinath un lieu assez saint, des Indiens y viennent en pélerinage. À pied, forcément.

Une des petites filles rencontrées sur le bord de la route. Un peu livrée à elle-même, mais super mignonne. Il y en a plein de belles comme celle-ci !

On en voit des vertes et des pas mûres parfois…

Pas besoin d'aller dans les contrées interlopes de l'Asie du Sud-Est pour trouver des chapeaux de pailles immenses. Quand il faut se protéger toute la journée, on prend un truc qui couvre tout !

Léa, une jeune fille française, légèrement sosie de Vanessa Paradis. Étudiante en violon à Paris, charmante ma foi.

Notre ami Quentin, rencontré au Maroc : il n'est pas beau ? Trop tard les filles, il est pris !

Oh la la, des vendeurs comme ça, on en veut des tas en France : des mangues, vendues à Katmandou par un Indien auquel on rend service en se faisant plaisir.

Les Népalais sont beaux, comme leur nom l'indique (né pas laids). Et les enfants toujours plus. La pluie apporte une beauté que Charles a magnifiquement saisie. Bravo Charlo !

Dans la djellabah, l'habit traditionnel « hermaphrodite » du Maroc, un vieil homme. La classe importe peu, il semble toujours que la vieillesse, c'est la sagesse…