Jean-Pierre Salvadori a 50 ans. Il est vigneron et produit son vin dans le Jura à partir des cépages entourant son village, Château-Châlon.

Nous l'avons rencontré alors qu'il préparait son matériel pour les vendanges. Il produit entre autres le célèbre vin jaune.

Max et Constantina Pagan (50 ans) vivent à Turin près du Pô.
Max est ingénieur chez Danone et parle parfaitement français avec un accent génial. Constantina est professeur d'anglais. Cette famille nous a reçus très gentiment et nous a indiqué la route à suivre pour découvrir l'Italie… et ses grissinis.

Michael semble le parfait italien, un ballon et le sourire revient. Il vit dans le charmant village de Voltido (plaine du Pô) et est âgé de 14 ans. Ce fut le capitaine d'un match de foot endiablé…

Daniele Garcia (48 ans) réalise des dentiers sur mesure dans un atelier de Mantova. Ce métier requiert une grande minutie et de nombreux instruments sont indispensables.

Alessandro est Italien, il a 40 ans et habite à Vérone. Il est décorateur d'intérieur et a peint lui-même une très jolie chambre pour ses deux filles. Il a abandonné le management pour se consacrer à ce qu'il préférait. Nous sommes restés deux jours chez lui, il a un sourire formidable !

Nous ne connaissons pas le prénom de cet homme. Il semble avoir 45 ans, nous l'avons rencontré alors qu'il emmenait ses chevaux dans les montagnes pour porter du bois. On ne le voit pas mais un des chevaux porte une tronçonneuse : rustique, mais pas trop !

Rosy a 78 ans, elle est veuve. Elle habite dans un petit village près du lac Balaton. Un midi, elle nous a invités chez elle, et même si nous ne pouvions nous comprendre que par des dessins et des gestes, ce fut pour deux heures une grand-mère formidable. Kőszőnőm, merci Rosy.

Voici une famille de Roumains un peu particulière : les parents s'occupent à temps plein de leurs neuf enfants, deux naturels et sept orphelins adoptés. Ils sont de confession baptiste, l'église leur a confié une maison et une mission, et c'est une sorte de communauté avec beaucoup de foi, et d'amour.

Rencontrés dans la montagne entre Resitza et Drobeta, voici un bûcheron roumain. On peut voir la différence avec les engins mécanisés français, lui a un tracteur pour emporter le bois… et ses mains pour le déplacer. Charles l'a un peu aidé !

Avec Florentina et Gheorghe, nous découvrons la vie rurale roumaine. Ils produisent quasiment tout ce qu'ils mangent, ils ont un poêle chauffage/cuisinière, et sont heureux comme des jeunes mariés. À gauche de la photo, une de leurs amis. Gheorghe a une prothèse à la main gauche, accident…

Couple rencontré dans la campagne, avec leur charrette pleine d'épis de maïs qu'ils poussaient… sur la route. Eh oui, la route ne sert pas qu'aux voitures à l'Est.

Voici Viktor et Ion, deux moines orthodoxes. Si en France, la religion majoritaire est le catholicisme, en Roumanie c'est la religion orthodoxe qui est prépondérante. Un soir, nous avons dormi dans le monastère de Gura Mutruili, qui accueillait quatre moines, c'était une soirée à l'ambiance… religieuse, assez recueillie. Elle nous a fait du bien.

Cet homme est tres gentil ! Mishka a travaillé 30 ans en Autriche et touche maintenant sa pension  en Hongrie. Il est tres fier de nous annoncer que sa Peugeot 405 a 300 000 kilomètres, et il la fait rouler avec du fioul de chauffage.

On a perdu son nom… mais c'est l'ami de Mishka. Il nous a dit avoir été 25 fois champion de ski de Hongrie (apparemment, il n'y a pas beaucoup de concurrents…), et maintenant il donne des cours de ski en France à Tignes. Il nous a accueillis dans sa datcha (maison de vacances) près du Danube, qu'il allait bientôt quitter pour revenir habiter dans sa maison de Budapest.

Non non, nous ne sommes pas avec des mafieux. Voici cinq messieurs rencontrés dans Budapest, ils se rendaient à une soirée costumée sur le thème de la prohibition, les années 1930 aux États-Unis, où l'alcool fut interdit un temps. Cette époque vit naître de véritables guerres autour de la contrebande d'alcool, on en connait Al Capone !

Voici Agnès, professeur de littérature anglaise à l'Université de Szeged, au sud de la Hongrie. À 30 ans, elle finit sa thèse et travaille occasionnellement en tant qu'interprète. Notre accent anglais « à la française » a dû la faire beaucoup rire car le sien est parfait.

Voici deux petites filles roumaines, Florentina et Maria, qui reviennent de l'école. En Roumanie, les enfants n'ont parfois école que le matin ou que l'après-midi : c'est l'école qui décide !

Lui surveille la réserve naturelle proche, elle est retraitée d'une entreprise pétrolière, à 70 ans passés ils se retrouvent en bons voisins sur le banc devant leurs deux maisons.

Quel âge a-t-elle ? 3, 4, 5 ans ? C'est en tous cas trop jeune pour mendier seule dans la rue. Son visage est celui d'une petite fille rom, aux origines indiennes.

Des cireurs de chaussures comme ce garçon, il y en a beaucoup à Istanbul, et il font concurrence aux plus vieux.

Petit garçon rencontré dans les banlieues – très – pauvre d'Istanbul. Nous avons la « chance » d'être guidé par un sociologue dans ces quartiers défavorisés et de découvrir ainsi la face plus méconnue d'une mégalopole : absence de plan d'urbanisation et logement précaire.

Le grand jeu pour les enfants rencontrés, c'est de se faire photographier… On fait des photos de groupe, c'est plus rapide !

Roland et Romana, 24 ans, et toutes leurs dents. Ces deux Autrichiens voyagent pour une durée indéterminée à travers le vaste monde. Pour l'instant, ils se dirigent vers l'Inde. Ayant tout vendu, il ne leur reste que leur magnifique minibus.

En Iran, ces enfants nous ont fait la fête, ils nous ont escortés en plein milieu de la rue.

À Ankara, ce vendeur de vélos fut le bienvenu pour remplacer deux roues voilées. Pour nous faire patienter, évidemment, un petit tchaï !

Rencontrés dans la gare d'Ankara, ces deux soldats sont très curieux et sympathiques, comme la plupart des soldats rencontrés en Turquie (et il y en a beaucoup !)

Abdul Hakim, 51 ans, est assis sur un tabouret au milieu de deux voitures devant l'ambassade d'Inde remplie à la machine les formulaires de personnes. Pourtant il se dit chimiste, électo-homéopathe et travaille dans les médecines parallèles. Il aide tout simplement, comme beaucoup d'autres Iraniens.

Dans la Cappadoce, voilà un berger qui garde ses moutons aux museaux noirs.

Près d'Istanbul, la cueillette des olives se fait à la main début décembre.

Voici Robert, un Autrichien qui fut un très bon compagnon de voyage et Rossinante, sa voiture rouge qui nous a transportés sur plus de 1 300 kilomètres entre Ispahan et Quetta au Pakistan. Si quelqu'un veut venir en Inde pour racheter sa voiture et revenir en Europe, ça l'arrangerait bien !